La décision d’arrêter de fumer est une bonne chose que ce soit pour son bien être ainsi que pour son entourage. Néanmoins, il est avéré qu’arrêter de fumer sans se faire « aider » est relativement difficile. La volonté seule ne suffit parfois pas.


Pour palier à ces difficultés, il existe une alternative aux traitements médicamenteux. Il s’agit de la médecine douce ou médecine parallèle. Voici les deux méthodes dont l’efficacité n’est plus à démontrer.

L’acupuncture.

L’acupuncture est considérée comme la méthode la plus radicale dans l’arrêt du tabac. Cette méthode consiste à piquer les principaux centres nerveux à l’aide de petites aiguilles afin de diminuer le phénomène de manque. Cette méthode peut faire peur mais elle est quasi indolore et rapide. En effet certains ont cesser de fumer complètement après cinq séances seulement.

L’acupuncture peut être associée à l’auriculothérapie. Cette méthode diffère quelque peu de l’acupuncture notamment sur le fait qu’il s’agit d’une pose d’agrafe située sur l’oreille pour une période de quinze jours renouvelables en fonction de l’intensité du phénomène de manque. Là encore les statistiques démontrent de véritables résultats positifs. En deux poses, la sensation de manque disparaît complètement.

L’homéopathie.

L’homéopathie est un traitement à base de plantes qui fait ces preuves depuis très longtemps. En ce qui concerne l’arrêt du tabac, il est vivement recommandé de privilégier la prise de caladium et tabacum sur une période de deux mois environ. Cette méthode n’est pas prescrite pour les personnes souffrants d’une très grande dépendance puisqu’il s’agit d’un traitement qui désintoxifie l’organisme de manière lente et progressive. Ceci étant, cette méthode fonctionne relativement bien puisqu’elle évite à l’organisme un changement trop radical.


Pour tout renseignements complémentaires, adressez vous à votre pharmacien, notamment pour la prescription quotidienne qui est variable d’une personne à l’autre.